grandeur | expérience | théorie linéaire |
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0,684 mm![]() |
1,147 mm![]() |
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1,49 s![]() |
1,11 s![]() |
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5,1 mm | 3,66 mm |
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0,895 mm/s | 0,69 mm/s |
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4,44 s |
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3 | ![]() |
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0 | ![]() |
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1 | ![]() |
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? | ![]() |
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? | ![]() |
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L'ensemble de ces coefficients est susceptible de varier avec la hauteur
de fluide , et dans une moindre mesure avec la largeur de la cellule
. En effet, la hauteur de fluide conditionne par exemple
l'échelle de temps (cf adimensionalisation, §
). Nous
avons aussi vérifié lors de nos expériences la très forte
dépendance de
avec
; celle-ci est illustrée sur la
figure
qui montre la dépendance de la période des
ondes en fonction de
dans différentes configurations. Pour ce qui
est de la dépendance en
-- visible sur la
figure
en bas à droite --, nous avons proposé avec
Burguete et al. (2000) une loi d'échelle inspirée de la définition du
nombre de Marangoni (
) pour rassembler les
seuils obtenus dans le rectangle avec
10, 20 et 30 mm.
Cette approche n'est pas suffisante pour décrire le comportement de la
fréquence. Pour cela, la figure
présente un
ajustement linéaire de la période avec la hauteur et nous observons
qu'en géométrie étendue bidimensionnelle (
mm)
la fréquence est indépendante de
. Nous remarquons
aussi que le confinement augmente la fréquence des ondes.
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Ainsi, les équations d'amplitude correspondant aux petites et grandes
hauteurs dans la cellule LOTUS ne seront pas les mêmes à cause de
coefficients différents dus à des hauteurs différentes. Nous
pouvons ainsi imaginer que les termes spatiaux
varient
avec
et que cette variation permet d'expliquer les différents
comportements des composantes des vecteurs d'ondes des OH1 et des OH2.